Jeudi 4 décembre 2008 à 19:54

 

There is a pleasure in the pathless woods,
There is a rapture on the lonely shore,
There is society, where none intrudes,
By the deep sea, and music in its roar:
I love not man the less, but Nature more,
From these our interviews, in which I steal
From all I may be, or have been before,
To mingle with the Universe, and feel
What I can ne'er express, yet cannot all conceal


 

lu ici

Jeudi 27 novembre 2008 à 9:37

 

J'ai ton absence dans les ongles et sous la peau. Je meurs d'amour pour toi.
Tout cela est si compliqué...
Si je voulais mesurer mon amour pour toi, maintenant j'en connais les limites, je sais que je meurs de toi. Je meurs d'amour pour toi.
Je ne te dirais pas que je t'aime pour toujours, je n'aime pas ces promesses mensongères qu'on retire et qui blessent plus sûrement qu'une volée de balles, mais une chose est sûre c'est que je t'aime pour très très longtemps C'est le genre d'histoire qui laisse des traces. Dont on ne peut sortir indemne. Tu as tout balayé, tu occupes une place énorme entre ma colonne et ma cage thoracique.
Savoir que tu doutes, l'idée de me séparer de toi... tout cela me cause une douleur gigantesque, comme un puis sans fond, et je me cognerais à ses parois encore et encore...
Tu fais trop partie de moi pour que j'envisage mon existence sans toi, pour l'instant du moins.
Je comprends enfin les héros de tragédie, j'avais cru mourir il y quelques étés de ça mais on croit toujours mourir lorsqu'on est triste, j'ai le sentiment d'avoir de la douleur pure sous perfusion qu'on m'injecte doucement, jour après jour, seconde après seconde.
Je ne peux tout bonnement pas croire que ce soi fini. Impossible. Comment peux-tu seulement y songer ?
En quoi ai-je échoué ? Qu'est-ce qui s'est cassé ? Si c'est cette fille, je te la volerai, car j'aime tout ce que tu aimes, c'est la quintessence de l'amour. Non, ce n'est pas vrai bien sûr.
Je ne tolérerai pas que tu trouves le bonheur auprès d'une autre. C'est tout.

La vérité c'est que je suis prête à tout pour toi. Je te suivrai en enfer s'il le faut...
À présent, j'en suis sûre : je t'aime plus que tout. Ce n'était pas un mensonge.

Te perdre... Je ne peux pas...

Et pourtant je ne veux rien t'imposer, je ne veux pas te forcer, à quoi ça servirait ? À te dégouter de moi ?
Je voudrais ne pas te forcer, mais mon amour même te force, et comment te laisser partir sans tenter de retenir ?
Je t'aime, je t'aime tellement...
Toutes les attentions que tu ne me portes pas me blessent tellement...
Je voudrais tant que tout revienne à la normale... Regarde-moi. Parle-moi. Dis-moi que je te manque. Que tu m'aimes. Qu'on va se marier. Non, ce n'est pas la peine. Dis-moi juste que tu as envie de me voir, fais semblant de t'intéresser à moi.
Sinon, je crois que je vais disparaître. Ne serait-ce que pour te mettre à l'épreuve, toi aussi.
Et si je te disais que je ne t'aime plus ? Et si je te disais que ça ne me fait rien ? Si je te dis fais ce que tu veux ? Qu'est-ce que tu ferais ? Qu'est-ce que ça te ferait ?
Si tu fonctionnes comme je fonctionne... Alors tu ne pourras que m'aimer passionnément, ton coeur encore fumant dans une main pour le l'offrir.
Jamais je ne t'ai aimé autant que là, maintenant, à cet instant précis.
J'ai cru aimer, avant toi. Visiblement, je m'étais trompée.

Lundi 24 novembre 2008 à 18:38

 

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Finalement, l'amour est une habitude comme les autres. On se parle de choses sans intérêt pour remplir l'espace, on baise, on s'ennuie à deux au lieu de s'ennuyer tout seul.
 

C'est la rationalisation du plaisir. C'est une perte de temps agréable.

Lundi 24 novembre 2008 à 18:37

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Je ne peux pas m'empêcher de penser à ça, à toi. Mes souvenirs, mes angoisses tambourinent mon crâne. Je n'ai pas assez dormi, je n'arrive pas à me concentrer. Et il y a toi, toujours toi. J'ai si peur... Mais ça tu le sais déjà...
 

Je suis engloutie, peu à peu je me noie... Dans cette idée que je me fais de toi.
Tu dis que ça va mieux et pourtant j'ai peur, je voudrais que tu ne cesses de me parler, je voudrais que tu me dises que tu penses à moi encore et encore... mais c'est bien ce que tu fuies, n'est-ce pas.
J'espère que tu sais ce que tu fais, j'espère de tout mon coeur que la prochaine fois qu'on se verra tu me regarderas dans les yeux et que soudain tout cela n'aura plus aucune importance.
La vérité c'est que chaque homme est seul, toujours seul. Je ne peux rien faire pour toi, vraiment rien, à part te forcer la main mais en même temps ce n'est pas ce que je veux.
La vérité c'est que le monde s'effondre, je voudrais tellement pouvoir remonter le temps mais c'est tellement STUPIDE n'est-ce pas ? Personne ne remontra jamais le temps.
Je t'aime, je crois que je ne t'ai jamais aimé autant que maintenant, précisément lorsqu'il ne faut pas, lorsque mon amour te torture.
J'ai tellement peur de te perdre... Je voudrais tellement que tout cela ne soit qu'un cauchemar et le pire c'est que je crois que toi aussi...
Ces filles dont tu m'as parlé... J'espère que cela ne t'a pas blessé le fait que je te parle de mes rêveries sur d'autres... parce que moi c'est pas important... mais ce n'est pas ton genre... j'espère tellement, tellement, que ce soit juste une phase, un passage à vide, et que tout rentrera dans l'ordre. Que tu me dises à nouveau que plus le temps passe et plus tu m'aimes...
Tu sais que j'ai peur de t'imposer ce que je veux, de faire comme l'autre...
ça me rassure lorsque tu me dis que tu fuis, sinon j'ai l'impression d'être transparente.
J'ai peur car même si tu dis que ça va mieux, tu n'oses toujours pas me dire je t'aime...
J'ai tellement besoin de te voir, chaque cellule de ma peau crie ton absence. Ce n'est même pas que tu me manques, c'est à un niveau différent. J'ai besoin de me blottir contre toi et de respirer doucement comme ça... rien de plus. Juste être avec toi. Là, maintenant.
Ça m'inquiète et me rassure à la fois que tu as « un peu » envie de me voir. Un peu, c'est mieux que rien ,c'est mieux qu'avant, mais ce n'est clairement pas assez...
Moi en tous cas je t'aime, et je suis prête à tout endurer pour te garder. Je voudrais juste que tu prennes un peu soin de moi... Si c'est possible.

Lundi 24 novembre 2008 à 18:16

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La vérité c'est que tout le monde est seul, terriblement seul. Pour comprendre le monde aujourd'hui il faudrait être un spécialiste dans tout mais il ya trop de choses à savoir, tellement de choses... On ne peut pas créer un consensus, un groupe de personnes chacun spécialiste quelque part et qui échangeraient leur pensées pour comprendre car on ne peut échanger ses pensées avec personne... il ya des mots qui tuent... Et je meurs avec eux ?
Je n'en peux plus, de toi, de mon amour pour toi, je suis contente et je doute, je suis prête à tout, te suiverai jusqu'en Enfers et ne veux rien t'imposer, j'ai peur, j'ai peur, j'ai peur... Pardon...

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