J’étais de retour au sein du Cocon, protégée, blottie dans sa chaleur douillette. Je voulais qu’on me parle de la pluie, de la mer et des aurores boréales. Il n’y avait personne. Il aura toujours pour moi le goût des regrets, du passé enfui et à jamais perdu, sans même que je n’ai pu goûter la fièvre de ses baisers et le bûcher de ses étreintes. Et le parfum du café alors que pointe l’aube et le goût de la neige sur mes paupières closes.
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