C’était un tendre après-midi d’octobre, le piano égraine les notes en cascades, elles n’en finissaient plus de tomber goutte à goutte.
Une de ces soirées crémeuses, onctueuses et épaisses, on s’y enfonce, on s’y blottit. On ne sait plus très bien quand le jour cède à la nuit, quand le ciel s’effondre.
Une de ces soirées crémeuses, onctueuses et épaisses, on s’y enfonce, on s’y blottit. On ne sait plus très bien quand le jour cède à la nuit, quand le ciel s’effondre.