Je ne t’apprends rien Tu sais comme le monde s’éteint lorsqu’elle s’éloigne. Alors j’ai mis mes bottes de sept lieues et j’ai couru vers les étoiles. Le vent m’emporte comme si je n’étais qu’une brindille qui danse avec le zéphyr. Je l’appelle, car elle a l’odeur du clair de lune et la douceur fragile de la porcelaine. J’aime passer mes doigts dans sa longue chevelure éparse et constellée, lisse comme l’odeur de l’herbe coupée. Je ne pouvais attendre, j’aime lorsque son corps se fond dans les eaux et que sa eau délicate s’élève des sources claires, abritées par autant de bougies, des bâtons de Sélène. Hélios et la nymphe.
Dimanche 16 août 2009 à 22:54
Je ne t’apprends rien Tu sais comme le monde s’éteint lorsqu’elle s’éloigne. Alors j’ai mis mes bottes de sept lieues et j’ai couru vers les étoiles. Le vent m’emporte comme si je n’étais qu’une brindille qui danse avec le zéphyr. Je l’appelle, car elle a l’odeur du clair de lune et la douceur fragile de la porcelaine. J’aime passer mes doigts dans sa longue chevelure éparse et constellée, lisse comme l’odeur de l’herbe coupée. Je ne pouvais attendre, j’aime lorsque son corps se fond dans les eaux et que sa eau délicate s’élève des sources claires, abritées par autant de bougies, des bâtons de Sélène. Hélios et la nymphe.
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