Deux cascades, reflet d'arc-en-ciel.
Une mer glacée et la neige.
On meurt de toi.
Comme je voudrais n'être qu'un cavalier sans tête et un trou béant dans la poitrine.
Sans toi je n'y arrive pas, je ne suis qu'une marionnette oubliée, désarticulée sans vie sur une étagère-poussière.
Je ne sais pas ce qui me retient de sauter dans le premier train... L'avenir me semble bien léger lorsque tu n'es pas présent, et toutes ces contraintes, je suis submergée, c'est ma faute, je suis coupable, plus, toujours plus, et tout semble si futile en comparaison de T O I.
Mon absolu, mon sigisbée...
ça ira, ça ira mieux demain. Il faut juste que je me résigne à nouveau, que je m'habitue à ne plus sentir nos peaux se mêler, à ne plus caresser tes lèvres, à mourir un peu, mais on ne s'y habitue jamais tout à fait n'est ce pas ?
Le temps, ce sale vieux tricheur chauve... Il me tue.
Il faut que je dorme, il faut que je me calme, il faut que j'oublie, j'ai tant à faire et le temps me rit au nez... La vie n'est qu'une putain, une mer enneigée et le monde qui flou qui tangue...
Toutes les fleurs sont des chrysanthèmes.
Parfois je n'en peux plus. Et puis ça passe.
Mercredi 1er octobre 2008 à 14:10
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