J’aurai aimé, vous savez. Comprendre. Immense lac salé sur les baies de Tokyo. Elle n’y était pas, elle n’était nulle part. Elle n’était qu’une ombre, éternellement. L’horizon s’éloigne alors même qu’on croit la saisir.
Il y a des rencontres, comme ça. Le goût amer du regret. Rien qu’un rendez-vous manqué.
Je ne la connaitrai jamais. Nous étions faits pour nous aimer. Ou peut-être pas.